Le 05 avril 2013, la deuxième édition des 24 heures du Droit, organisée au Mans par le Pr Touzeil-Divina et Juliette Gaté, avait (encore) un caractère extraordinaire. La manifestation a compris trois temps distincts :
- un colloque relatif au thème « Parlement aux écrans ! » ,
- un jeu déjà interuniversitaire « Qui veut gagner des Foucart ? »,
- ainsi qu’un gala (le « Gala des XXIV heures du Droit »).
LE COLLOQUE
Comment les délégués d’une Nation (en France mais aussi à l’étranger) sont-ils incarnés et / ou représentés dans et par les écrans ? Les médias leur sont-ils singuliers ? L’existence de chaînes à proprement parler « parlementaires » est-elle opportune et efficiente ? En particulier, comment y est gérée la question du pluralisme et de l’autonomie financière ? Comment le cinéma, la fiction et finalement aussi peut-être le grand public des citoyens perçoivent-ils le Parlement et ses acteurs, leurs rôles, leurs moyens de pression ? Y cède-t-on facilement à l’antiparlementarisme ? Comment y traite-t-on des enjeux et des phénomènes parlementaires historiques et / ou contemporains ? Quelle y est la « mise en scène » parlementaire ? Existe-t-il, même, un droit de ou à une télévision camérale ?
Telles sont les questions dont le présent colloque a traité avec la participation exceptionnelle du maestro Costa-Gavras, de parlementaires (dont le Président Delperee et la députée Karamanli), d’administrateurs des Chambres, de journalistes caméraux et directeurs de chaînes, d’universitaires renommés (dont les professeurs Benetti, Ferradou, Guglielmi, Hourquebie, Millard, de Nanteuil, Touzeil-Divina et Mmes Gate, Mauguin-Helgeson, Nicolas & Willman) ainsi que d’étudiants des Universités du Maine et de Paris Ouest.
LE JEU
Vous trouverez ci-dessous et ci-dessus
quelques souvenirs de la 2e édition du jeu
« Qui veut gagner des Foucart » qui en 2013 opposait
déjà des étudiant.e.s de l’Université du Maine (Le Mans & Laval) et de Toulouse (UT1 & IEP).
LE GALA
Le 2e Gala des XXIV heures eut lieu … au Stan ….
& AU PETIT MATIN ?
Dès 2013 ce fut une tradition : les survivant.e.s des 24 heures se retrouvent un peu endormi.e.s pour un dernier café avant le sommeil réparateur ! Ils et elles repartent avec leur diplôme officiel en attendant l’édition prochaine.
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